les pannes sexuelles lorsqu’on a une maladie neurologique...

Bonjour ! La maladie de Parkinson est une maladie très complexe, et encore mal comprise à notre époque, à tel point qu’aucun traitement efficace n’existe à l’heure actuelle.

Certaines études ont montré que les personnes touchées de dysfonctions érectiles ont 4 fois plus de chance d’attraper cette maladie au cours de leur vie.

En effet, les études révèlent aussi que la fonction sexuelle des patients peut varier d’un cas à un autre : certains réussissent à garder une vie sexuelle satisfaisante, certains au contraire voient leurs vies sexuelles fortement compromises, pendant que d’autres souffrent d’hypersexualité.

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Concrètement, la maladie de Parkinson apporte son lot de symptômes qui viennent entraver le bon fonctionnement de la sexualité et des fonctions érectiles.

u côté physique, il peut connaître des raideurs au corps, des tremblements incessants, une immobilité, une métamorphose de la morphologie du corps accompagné de sueurs récurrentes rendant les parkinsoniens beaucoup moins attrayants visuellement et sexuellement.

En plus des difficultés motrices les empêchant d’avoir une érection, ils doivent aussi faire face au regard des autres (dégoûtés par leurs apparences physiques).

Cela est une source suffisante pour anéantir l’estime qu’ils ont d’eux-même, encore davantage si leur partenaire en fait partie. Cette fois, Il ne s’agit même plus de pannes érectiles, mais d’un retrait total vis-à-vis des rapports sexuels.

Je rajouterais aussi que la maladie de Parkinson est causée par un déclin de la production de la dopamine, or, cette hormone, communément appelée “hormone du plaisir”, est essentielle pour la libido d’une personne.

Il n’est donc pas étonnant que les pannes sexuelles puissent faire leur apparition puisque le désir, l’envie elle-même n’y est plus.